Pour lutter contre les préjugés sur le caractère prétendu « pollueur » des golfs, il est important que la communauté des golfeuses et golfeurs se mobilisent pour affirmer le contraire, chaque fois que possible, en s’appuyant sur des données techniques fiables et des argumentaires adaptés.
A cet effet, il est proposé dans la fiche jointe, quelques éléments clés pour répondre aux principales allégations sur la démarche de transition écologique du golf.
C’est ainsi, par exemple, que 90% des golfs utilisent de l’eau impropre à la consommation humaine et que, depuis 2006, le volume moyen de consommation de l’eau a baissé de 14% ou encore que l’ensemble des golfs ne consomment que 0.09% des 32 milliards de m3 prélevés chaque année en France pour les activités humaines.
Enfin, retenons qu’en période de sécheresse, seuls les greens sont arrosés. Essentiels à la survie du parcours, ils ne représentent que 1 à 2% de la surface totale du golf…